La liberté des Etats-Unis

Je ne suis jamais arrivé sur vos côtes glorieuses pour profiter d’une détente heureuse – je ne suis pas arrivé avec l’intention de recueillir des triomphes de variations privées, mais parce qu’un simple pétitionnaire, au nom de mon pays, comme clé constitutionnelle ouvertement sélectionnée, humblement pour implorer votre aide ; et puis c’est dans ce but que je consacrerai chaque minute de mon temps, en utilisant le plus d’assiduité, avec d’autant plus de malaise, que chaque minute apporterait une étude des occasions qui pourraient m’appeler à accélérer chez moi sur la zone de combat, où le fantastique, et je le souhaite, la lutte finale se déroulera entre la liberté et le despotisme – une minute notée du doigt du Seigneur pour être si proche de celle de chaque heure environ de votre propre soutien généreux peut s’avérer fatalement désastreux pour l’humanité opprimée. Et, donc en m’expliquant ma place pour devenir celle d’un modeste pétitionnaire à l’intérieur du titre de mon pays opprimé, permettez-moi de vous demander respectueusement: ne pouvez-vous pas vous sentir déçu sur le point de m’avoir arrimé la haute reconnaissance de la merveilleuse réception, inégalée dans l’histoire? Je dis seulement sans égal dans l’histoire, mais je sais que vos pères ont accueilli Lafayette de manière comparable; mais Lafayette a connu de puissantes prétentions à l’appréciation de votre pays. Il avait combattu dans vos rangs pour votre indépendance et votre indépendance; et, ce qui était néanmoins plus, à l’intérieur de l’heure de l’exigence, il était le lien hypertexte de la connexion chaleureuse et amicale avec la France – une connexion les résultats qui avaient été deux flottes françaises de plus de 30-8 hommes de guerre et 3 mille des gars galants qui ont combattu partie à partie avec vous en opposition à Cornwallis, juste avant Yorktown; le précieux cadeau de 20 à plusieurs milliers de mousquets; le financement de dix-neuf énormes sommes d’argent; et aussi les traités préliminaires de la glorieuse sérénité négociés à Paris de votre immortel Franklin. J’espère que la population des États-Unis, maintenant seule à l’intérieur du problème heureux d’aider les personnes qui pourraient avoir besoin d’aide, comme elle en avait l’habitude dans le besoin, gardera ces faits à l’esprit; et vous aussi, citoyens du dernier York, vous pouvez vous-mêmes devenir les Lafayettes de Hongrie. Lafayette a eu des états fantastiques pour votre amour et votre sympathie, ayant dit que je n’ai rien. Je suis venu un simple pétitionnaire, sans autres déclarations par rapport à celles dans lesquelles les opprimés ont besoin de la sympathie des hommes libres qui ont le pouvoir d’aider, avec la déclaration dans laquelle les regrettables doivent les heureux, et aussi les opprimés doivent la sécurité de l’éternité droits propres ainsi que des droits individuels. En un mot, je n’ai en fait pratiquement pas d’autres déclarations par opposition à celles selon lesquelles le concept opprimé de liberté doit être au service de la liberté victorieuse.